Préparer sa retraite avec l’assurance prévoyance-vieillesse
Vous le savez, le montant de votre future pension légale sera bien inférieur à votre salaire actuel.
Pour profiter pleinement de votre retraite, vous pouvez constituer une épargne complémentaire. Celle-ci s’accompagne également d’une fiscalité avantageuse.
L’article 111 bis de la loi de l’impôt sur le revenu modifie en effet le montant annuel maximum déductible de vos primes d’assurance prévoyance-vieillesse.
Auparavant, le plafond était lié à l’âge du contribuable : des montants s’échelonnant de 1 500 € à 3 200 € pouvaient être déduits de la base imposable. Depuis le 1er janvier 2017, le plafond a été réévalué à 3 200 € pour tous, sans condition d’âge.
Cette mesure concerne aussi bien les contrats en cours que les nouvelles souscriptions.
La durée minimale de souscription est de 10 ans, sans possibilité de liquidation anticipée sauf en cas de maladie grave ou d’invalidité.
La prestation est payable au plus tôt à 60 ans, au plus tard à 75 ans.
« Avec ce nouvel avantage, je paie moins d’impôts, tout en constituant un capital pour ma retraite » s’enthousiasme Caroline, 53 ans, chargée de ressources humaines dans un cabinet d’audit. « C’est rassurant de savoir qu’une pension complémentaire m’attend pour faire face aux imprévus. »